Metz peut-il éviter la relégation en Ligue 2 face au PSG ? “Que dejà fait deux fois tombe”

“Metz demeure sur deux victoires consécutives, cela va les aider, On fait confiance à Ronny Rodelin, l’actuel attaquant du Servette Genève et l’habitué des luttes pour le maintien en L1 lorsqu’il évoluait à Caen puis Guingamp. Connaissant Frédéric Antonetti, il va se battre jusqu’au bout. Sur un match, tout est vraiment possible.” “Ils tombent l’un déjà fait deux fois“, a rappelé Romain Genevois, l’ancien défenseur malherbiste.

Et pour cause : le PSG démarre fort et Adrien Rabiot ouvre le score dès la treizième minute. En seconde période, les vagues succèdent encore sur le but de Rémy Vercoutre. Syam Ben Youssef sauve un lob d’Edinson Cavani sur la ligne et Romain Genevois écarte un ballon chaud quelques minutes plus tard. “Si on prend un deuxième mais, c’est fini», je reconnais l’ancien défenseur international haïtien, aligné au cœur d’une défense à cinq soir-là.

A 20 minutes de la fin de la 38e journée, Vincent Le Goff a offert l’égalisation à Lorient face à Bordeaux (1-1). Caen est retrouvé barragiste. “Quand on l’apprend, on se dit qu’on doit absolument marquer. Sur le terrain, je n’ai pas le souvenir d’une baisse d’intensité du PSG à ce moment-là. Nous, on essaie donc de constructeur notre jeu au maximum et on garde notre sang froid. Le fait d’y croire jusqu’au bout nous a vraiment aidés“, raconte Ronny Rodelin, héros de cette fin de match.

“In première mi-temps, on a beaucoup subi, ça arrive dans tous les sens“, a rappelé Ronny Rodelin. “On avait la sensation qu’ils avaient envie de pincer le match d’entréeconfirme Romain Genevois. Ça restait Paris, une équipe capable d’en mettre quatre même en marchant“Plus après la pause, ils tombent d’un coup”montagnes d’errance“.”En seconde période, je trouvais qu’on était un peu plus tranquilles. On sentait qu’ils n’avaient pas envie de prendre de mauvais coups. Parfois, ils jouaient à la baballe.” Malherbe accroche un nouveau résultat contre Paris (0-0) et se sauve encore in-extremis (ndlr : devant Toulouse). Quatre ans plus tard, Metz signait des deux mains pour un dénouement similaire.