Nommée ministre des Sports par Elisabeth Borne le vendredi 20 mai, Amélie Oudéa-Castéra était en couple avec un joueur de tennis du monde entier : Gustavo Kuerten. Ce dernier a notamment rapporté Roland-Garros.
S’ils sont nom ne vous dit rien, c’est parce qu’elle n’a pas eu la carrière espérée. Tout juste nommée ministre des Sports par Elisabeth Borne le vendredi 20 mai, Amélie Oudéa-Castéra n’a jamais retrouvé une belle place au panthéon du tennis. Sa courte carrière de joueuse professionnelle ne lui a pas donné la célébrité qu’elle souhaitait. Pourtant, Amélie Oudéa-Castéra était baignée dans la petite balle jaune jusqu’au cœur de sa vie sentimentale.
Alors âgé de 19 ans, la nouvelle ministre des sports a vécu une idylle passionnelle avec le joueur brésilien Gustavo Kuerten, en 1997. Cette année-là, le célèbre tennisman, qui n’occupait que la 66e place mondiale, rapportait Roland-Garros. Mais si les deux tourtereaux ont vécu une intense passion, cette dernière a été de courte durée. Quelque temps plus tard, ils se séparent et Amélie Oudéa-Castéra décide de se concentrer sur de longues études.
Amélie Oudéa-Castéra avec une vraie passion avec Gustavo Kuerten
Bien qu’elle soit revenue sur les bancs de la prestigieuse école de l’ENA, dans la même promotion qu’un certain… Emmanuel Macron. Une fois son diplôme en poche, Amélie Oudéa-Castéra se lance dans une carrière privée. En 2004, il débute une activité d’audit financier à la Cour des comptes avant d’enchaîner avec un poste à la Société Générale. C’est ici qu’elle rencontre son époux actuel, le directeur général de la banque, Frédéric Oudéa.
Si sa carrière a été aussi riche qu’éprouvante, Amélie Oudéa-Castéra n’a jamais oublié sa première passion : le sport. En 2016, il décide de créer l’association Rénovons le sport français, qui deviendra ministre des Sports et des Jeux Olympiques le 20 mai 2022. « Amélie une exigence et une capacité de travail impressionnantes. Il a une capacité de mobilisation et une intensité exceptionnelle dans l’engagement. Elle a toujours j’ai conservé la culture du haut niveau”a même nommé à son propos la championne de tennis Amélie Mauresmo dans les colonnes du Figaro.
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